L’Arbre Écorce, vieillard de saison, Tu vis tant d’étoiles, Sur tes branches, un frisson, Sous ton feuillage, la toile.

Les oiseaux viennent s’asseoir, En silence, tendres récits, Sous tes ombres d’antan, Nous rêvons des cieux infinis.

  • Paul Claudel